En réunissant un Comité Interministériel de Sécurité Routière (CISR) dans l’urgence, avant la tenue du Conseil National de Sécurité Routière (CNSR) et sans tenir compte de ses travaux, le gouvernement Philippe fait montre de précipitation et méprise ouvertement les usagers représentés tant par les associations qui travaillent de concert au sein du CNSR que par les parlementaires qui n’ont jamais été consultés sur les mesures envisagées.
Encore une fois, ces mesures telles qu’annoncées seraient dans la droite ligne des politiques menées depuis des années par les gouvernements successifs : toujours plus de répression, de limitations, de restrictions, de surveillance.
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