RENDEZ-VOUS samedi 21 SEPTEMBRE à 14 heures
sur l’avenue Foch à Paris (porte Dauphine).
Soyez nombreux et nombreuses ! Passez le message !
Inefficace, absurde, incohérent, inutile, une fausse solution, contre-productif, inutilement onéreux, ridicule, un racket, sans garantie juridique… : les qualificatifs ne manquent pas pour caractériser le contrôle technique des motos que le ministre des Transports de l’époque, Clément Beaune, a rendu obligatoire depuis le 15 avril 2024 !
Déjà en moins de 5 mois, les données des centres de contrôles confirment les prédictions de la FFMC :
- seulement 8 % des motos et scooters de plus de 125 cm3 sont appelés à une contre-visite… contre 19 % pour les automobiles ;
- seulement 73 défaillances « critiques » ont été relevées parmi les motos et scooters de plus de 125 cm3 (avec interdiction de circuler le lendemain du contrôle) sur 46 690 véhicules contrôlés ;
- un tarif généralement constaté entre 60 et 90€ au lieu des « 50 euros » annoncés par le ministre des Transports !
Même les patrons des enseignes de contrôle confirment que « après 2 mois d’activité, le bilan est un témoignage positif de l’état du parc moto en France » (groupe Securitest) et que « les premiers constats du contrôle technique sur les deux-roues montrent que, conscients certainement de leur exposition aux dangers de la route, les motards entretiennent plutôt bien leur véhicule » (groupe Motovision).
Forte de ces nouveaux éléments, la FFMC réaffirme son opposition au Contrôle Technique des motos et appelle les motards et motardes à une nouvelle manifestation nationale les 21 et 22 septembre 2024 dans de nombreux départements et, notamment, à Paris le samedi 21 septembre dès 14 heures sur l’avenue Foch (porte Dauphine à Paris) : plus nombreux, plus forts !
Soucieuse de la sécurité des motards, des motardes, ainsi que de tous les usagers de la route, et forte de son expertise technique et humaine (avec l’appui de l’assurance Mutuelle des motards, de l’Association pour la Formation Des Motards AFDM, des journalistes de la presse moto et notamment de Motomag), la FFMC affirme que de nombreuses alternatives sont envisageables pour une véritable politique de sécurité routière. Il ne tient qu’aux politiques de s’en emparer !